La névralgie d’Arnold est une douleur qui est propre au nerf qui porte ce nom.
Nous avons pu voir dans l’article la névralgie d’Arnold qu’il existe plusieurs cas de figures qui conduisent à la compression de ce nerf.
Lorsque le patient est en bonne santé sans antécédents il a de grandes chances de guérir vite de ce problème. En revanche une personne qui a plusieurs antécédents liés risque de mettre plus de temps à guérir de la névralgie d’Arnold.
Par principe on peut élargir ce raisonnement à toutes les douleurs qui relèvent d’un problème fonctionnel et dont l’ostéopathe s’occupe.
Voici une liste non exhaustive de facteurs aggravants la rétablissement de la névralgie d’Arnold.
1) Antécédent de type traumatisme physique aggravant la névralgie d’Arnold
L’entorse cervicale peut survenir à la suite d’un accident de voiture (wyplash) ou d’une chute sur la tête (gymnastique, trampoline) ou tout autre choc. Pensons également aux chutes sur les fesses ou le dos qui peuvent également causer du tord à la région cervicale. En effet la vibration de l’impact se diffuse dans l’ensemble.
Bien que le corps se rétablisse, il peut garder une certaine raideur ou sensibilité dans la zone cervicale à proximité du nerf d’Arnold. (Si cela vous arrive je vous recommande une bonne réeducation avec le kinésithérapeute, c’est indispensable, en plus de l’ostéopathie par petite touche)
Le corps aime le mouvement aussi bien dans les grands gestes que dans les mouvements fins et invisibles des petites structures qui tiennent la colonne. Lorsque la raideur s’installe sur ces petites structures, les plans de glissement entre les muscles et les nerfs sont réduits et l’echauffement autour du nerf peut-être facilité.
2) Antécédent de type infectieux:
Les oedemes de la gorge (oedeme de quinck); cancer de la gorge, les gonflements des amydales, ou encore tout autre abcès et grosseurs qui on pu toucher la région du cou ou de l’arrière de la tête.
Dans ces antécédents il y a eu une compression des tissus. Non pas de l’extérieur vers l’intérieur comme un objet qui percute pourrait le faire, mais de l’intérieur. Il ya également eu une inflammation des tissus lié aux défenses immunitaire. D’un point de vue des tissus organiques tels que les fascias, on va retrouver des possibles adhérences, altération de la qualité de souplesse et d’étirement des petites structures.
Ce qui va laisser au bout du compte une raideur des petites structures, comme dans un traumatisme physique.
La différence pour l’ostéopathe reste toute de même importante car dans les deux cas le contact de la main, les prises, et les mouvements à induirent sont différents.
3) Antécédent de type psychologie emotionnel:
Les traumatismes émotionnels on la capacité d’affecter le corps physique par l’intermédiaire des nerfs et des hormones, et cela peut prendre toute sorte de manifestations et d’impacts sur le corps.
Le raisonnement reste donc théorique à ce sujet. Dans la pratique, si cela est présent, il peut s’imposer à la main de l’ostéopathe comme un moment de la séance, nécessaire, pour ensuite améliorer la mobilité cervicale. Pour ma part cela se passe de mots et d’explications et je considère d’un point de vue biologique comme un ajustement des fonctions régulatrices internes. J’ai un regard simple sur cela et dans ma façon d’en parler ou de l’aborder également.
Conclusion
En résumé il y a des antécédents divers qui peuvent rendrent la région cervicale moins mobile et rendre la guérison de la névralgie d’Arnold plus longue. Le fait d’en tenir compte peut être utile dans ces cas. Dans ces situations il ya un temps à consacrer aux structures concernées par ces anciens traumatismes.
Ostéopathe pour traiter la névralgie d’Arnold
J’exerce à Melun dans le 77 et si vous voulez voir mes collègues plus proche de chez vous, ils pourront vous prendre en charge pour ce problème:
Solène Chavane Paris 13 Les Gobelins
Vincent Marcon Paris 14 Denfert Rochereau
Benoit Bezzina Paris 18 Guy Môquet
Florian Mandrillon Paris 10 Place République